Quelques lecteurs d’Ératosthène m’apportent un peu de soleil. Parce qu’ils ont senti ce qui se cache derrière le roman historique. Ici une petite note sur SensCritique, pas de plus beau résumé possible.
À la fin de cette Grèce antique, Crouzet nous parle non pas d’un savant touche-à-tout de génie (mathématicien, poète, astronome, géographe) mais de nous. Tout résonne étrangement. La fin des élites, d’un système. La difficulté d’être seul lorsque l’on ne veut pas séduire, pas participer à un système. […] Le livre de Crouzet dit ce que nous sommes là où le succès du livre d’une ex-dame le prouve.