Beaucoup d’auteurs se lamentent de la médiocrité de leurs éditeurs, et ça m’arrive aussi. Mais il est inutile de prolonger une situation contractuelle insatisfaisante. La plupart des éditeurs restituent sans trop rechigner les droits sur les textes qu’ils n’exploitent plus qu’en pointillé, voire pas du tout.
Je viens ainsi de récupérer les droits de mes livres publiés chez Bourin, L’Âge d’homme et Publie.net. Ça, c’était simple, maintenant il me faut remettre en circulation ces textes, tant en numérique qu’en version papier.
Depuis mon retour de vacances, j’essaie de trouver un concept de couverture qu’il me serait facile de décliner à l’infini (et sans trop perdre de temps). N’étant pas graphiste, j’ai exploré ce qui se faisait et j’ai un peu joué. J’ai testé trois approches et les classe par ordre de préférence (si vous avez des avis, des idées…).
L’approche bagnard
Je me suis inspiré d’une biographie de Jeremy Corbyn.
L’approche masque
Je me suis inspiré de Holes de Louis Sachar, une couverture qui évoque la vielle collection Masque Jaune. J’ai choisi le jaune après avoir lu que c’était la couleur qui maximisait les contrastes et était donc la plus visible en ligne.
L’approche muselé
Une variation trash de la version bagnard.